Les communautés du Libre s’opposent aux dérives sur le paquet télécom.
Alors que les citoyens partent en vacances, les eurodéputés s’apprêtent à adopter un dispositif de contrôle des communications privées. Les communautés du Libre, réunies à Mont de Marsan pour leurs neuvièmes rencontres mondiales [1], alertent les responsables politiques et tous les citoyens européens sur un projet qui menace les libertés individuelles.
Les commissions parlementaires doivent se prononcer le 7 juillet, veille des vacances ; le Parlement doit le voter le 2 septembre, jour de la rentrée, en séance plénière.
Les eurodéputés examinent actuellement le "paquet télécom", cinq directives européennes de 2002 qui régissent le marché européen des télécommunications. La directive "vie privée" fait l’objet d’un détournement à la demande de puissants lobbys, essentiellement des sociétés éditrices de logiciels fermés et de l’industrie du divertissement. Plusieurs amendements visent en effet à permettre le déploiement d’une informatique résolument verrouillée [2].
Cette directive a vocation à protéger la vie privée des européens. Or, elle est détournée pour violer la vie privée des utilisateurs en imposant des procédés techniques déloyaux, destinés à contrôler leurs communications.
"Ces procédés sont une généralisation des DRMs à l’ensemble des usages, ils visent à contrôler l’information par le contrôle des communications privées", explique Benjamin Bayart, membre du comité d’organisation des RMLLs et président de FDN. "Sous couvert de nettoyer Internet, ils vont en réalité le stériliser."
Ces directives devraient défendre la neutralité absolue du réseau, pour favoriser la croissance liée à l’économie numérique. Si les parlementaires européens adoptent ces amendements, la croissance économique européenne en sortira durablement handicapée.
Les communautés du Libre appellent les eurodéputés à protéger les intérêts des citoyens et à s’opposer à ces amendements [3]. Elles demandent aux présidents de groupes de faire reporter ce vote, pour permettre aux parlementaires d’examiner le paquet télécom et de se prononcer en conscience.
http://2008.rmll.info/Les-communautes-du-Libre-s.html
la rose blanche
jeudi 8 janvier 2009
lundi 15 décembre 2008

Avant d'entamer, le cours d'intégration des TIC, mon rapport à l'ordinateur qui est un aspect de ces technologies, se limitait au traitement de texte. Mais à mesure que j'avançais dans ce cours mes connaissances s'approfondissaient et ma curiosité grandissait . Une saine curiosité qui a ouvert les yeux sur un monde fascinant comme celui d'Alice au pays des merveilles. Croyez-moi chers collègues l'analogie n'est pas hyperbolique. C'est la pure réalité. À tel point que je suis passé en un laps de temps très court du statut du néophyte à celui de l'initié. Car maintenant j'ai mon blog personnel, mon portfolio, je clavarde chaque soir et j'ai mon compte sur second life. Sans omettre de dire que mon cybervocabulaire ne cesse de s'enrichir jour après jour. La réalisation d'une vidéo à aussi était une étape décisive dans ce cours étant donné que j'ai vu qu'il suffisait d'y croire et de travailler le résultat vient après grâce à l'ingéniosité des TIC. La manipulation de logiciels comme Nvu, Cmap, imovie m'ont fait toucher du doigt toutes les possibilités de créations d'offrait ces technologies, mais aussi le réservoir de ressources que cela pouvait mettre à notre disposition en tant que futurs professionnels de l'enseignement. Sans trop se perdre dans l’exaltation qui accompagne la découverte d’un nouveau monde. Et dans une optique pédagogique qui est celle de renforcer et de consolider les acquis, je soumets sous forme d’une carte conceptuelle qui permet de saisir d’un seul coup d’œil tout le plan du cours.
Enfin, sans exagération aucune, le cours d’intégration des TIC est celui dans lequel ou j’ai le plus appris; il m’a ouvert une Voie lactée parsemée d’astres scintillants qui ne cessent de m’attirer vers quelque chose de toujours renouvelé. C’est un univers ou il n’y a pas de routine. Les TIC sont une aventure digne des grandes découvertes géographiques du 15e et 16e siècle. Merci Florien pour cette belle aventure qui ne va pas s’arrêter de si tôt.
Enfin, sans exagération aucune, le cours d’intégration des TIC est celui dans lequel ou j’ai le plus appris; il m’a ouvert une Voie lactée parsemée d’astres scintillants qui ne cessent de m’attirer vers quelque chose de toujours renouvelé. C’est un univers ou il n’y a pas de routine. Les TIC sont une aventure digne des grandes découvertes géographiques du 15e et 16e siècle. Merci Florien pour cette belle aventure qui ne va pas s’arrêter de si tôt.
lundi 8 décembre 2008
Seigneur !!! rien n'a de limités...
Microsoft lance une ligne de... vêtements !
André Simard, Technaute.ca08 décembre 2008 12 h 44 11 commentaires
Le géant du logiciel propose une gamme de t-shirts d'allure rétro de marque «Softwear by Microsoft».
Pour en savoir plusMicrosoft Bill Gates
C'est l'agence de publicité Crispin Porter + Bogusky qui a conçu la collection. Les t-shirts sont destinés au geek urbain, nostalgique de l'informatique des années '80.
Selon le modèle, on retrouve un clin d'oeil au MS-DOS, différentes versions du logo de Microsoft ou encore une photo d'identité de Bill Gates prise lors de son arrestation en 1977 pour une infraction au code routier.
Avec sa ligne de vêtements, Microsoft dit miser sur «la nostalgie d'une époque où les PC commençaient à peine à transformer nos vies».
La firme de Redmond a choisi le rappeur Common à titre de porte-parole de la collection «Softwear by Microsoft». Il a également vu au design de certains des chandails, qui seront en vente à compter du 15 décembre.
Évidemment, nous avons tous saisi le jeu de mots autour de la marque de t-shirts: «Softwear» plutôt que «Software».
D'après AdAge.com
André Simard, Technaute.ca08 décembre 2008 12 h 44 11 commentaires
Le géant du logiciel propose une gamme de t-shirts d'allure rétro de marque «Softwear by Microsoft».
Pour en savoir plusMicrosoft Bill Gates
C'est l'agence de publicité Crispin Porter + Bogusky qui a conçu la collection. Les t-shirts sont destinés au geek urbain, nostalgique de l'informatique des années '80.
Selon le modèle, on retrouve un clin d'oeil au MS-DOS, différentes versions du logo de Microsoft ou encore une photo d'identité de Bill Gates prise lors de son arrestation en 1977 pour une infraction au code routier.
Avec sa ligne de vêtements, Microsoft dit miser sur «la nostalgie d'une époque où les PC commençaient à peine à transformer nos vies».
La firme de Redmond a choisi le rappeur Common à titre de porte-parole de la collection «Softwear by Microsoft». Il a également vu au design de certains des chandails, qui seront en vente à compter du 15 décembre.
Évidemment, nous avons tous saisi le jeu de mots autour de la marque de t-shirts: «Softwear» plutôt que «Software».
D'après AdAge.com
samedi 6 décembre 2008
Les Mac n'auraient finalement pas besoin d'antivirus..
Les ordinateurs de la firme à la Pomme seraient suffisamment sécurisés pour se passer d'antivirus. Mais protéger davantage son Mac n'est pas inutile, selon Apple.
Anne Confolant 04-12-2008
Advertisement
La firme de Cupertino ne sait pas sur quel pied danser… Elle conseillait il y a quelques jours aux utilisateurs de Mac d'avoir recours à des antivirus pour protéger leur ordinateur et ainsi se prémunir d'éventuelles menaces. Cette déclaration avait alors surpris les aficionados de Mac, encore très peu touchés par les virus informatiques. La plupart n'ont même jamais eu besoin d'installer d'antivirus sur leur machine estampillée Apple.
Mais aujourd'hui, la firme à la Pomme fait volte-face. Bill Evans, le porte-parole d'Apple, a déclaré sur le site MacWorld que la note conseillant l'installation d'antivirus sur les Mac était vieille et obsolète. Ce billet a d'ailleurs été enlevé du site.
Et le porte-parole précise : "Aucun système ne peut être à 100% immunisé contre toutes les menaces, utiliser un antivirus peut alors apporter une protection supplémentaire". En clair : dans tous les cas, mieux vaut être prévoyant, et utiliser un antivirus ne peut de toute façon pas faire de mal….
Bill Evans se veut tout de même rassurant sur la fiabilité des ordinateurs Mac : "Le Mac est conçu à partir de technologies intégrées qui fournissent une protection contre les logiciels malveillants et les menaces de sécurité dès qu'il est sorti de son emballage".
Anne Confolant 04-12-2008
Advertisement
La firme de Cupertino ne sait pas sur quel pied danser… Elle conseillait il y a quelques jours aux utilisateurs de Mac d'avoir recours à des antivirus pour protéger leur ordinateur et ainsi se prémunir d'éventuelles menaces. Cette déclaration avait alors surpris les aficionados de Mac, encore très peu touchés par les virus informatiques. La plupart n'ont même jamais eu besoin d'installer d'antivirus sur leur machine estampillée Apple.
Mais aujourd'hui, la firme à la Pomme fait volte-face. Bill Evans, le porte-parole d'Apple, a déclaré sur le site MacWorld que la note conseillant l'installation d'antivirus sur les Mac était vieille et obsolète. Ce billet a d'ailleurs été enlevé du site.
Et le porte-parole précise : "Aucun système ne peut être à 100% immunisé contre toutes les menaces, utiliser un antivirus peut alors apporter une protection supplémentaire". En clair : dans tous les cas, mieux vaut être prévoyant, et utiliser un antivirus ne peut de toute façon pas faire de mal….
Bill Evans se veut tout de même rassurant sur la fiabilité des ordinateurs Mac : "Le Mac est conçu à partir de technologies intégrées qui fournissent une protection contre les logiciels malveillants et les menaces de sécurité dès qu'il est sorti de son emballage".
jeudi 13 novembre 2008
Mind mapping ?
12 novembre 2008
Le mind mapping pour contrecarrer le copier-coller
Copier sur un seul, c’est du plagiat. Copier sur deux, c’est de la recherche. (Wilson Mizner)
La quasi unanimité des professeurs à décrier le copier-coller et à pointer du doigt les nouvelles technologies de l'information porte à croire que son rejet systématique relève davantage de la pensée de groupe que d'une réflexion sur le phénomène. Je l'ai constaté maintes fois au refus des professeurs d'en discuter. Le copier-coller n'est pas d'emblée un signe de fausseté ou de paresse intellectuelle, quoique cela ne soit pas exclu; il s'inscrit souvent dans un processus de synthèse où l’auteur pèche par négligence, voire par ignorance. Dans la plupart des cas, en situation d’apprentissage, cela ne justifie pas le rejet total du travail.
La valorisation de la démarche, en amont du produit final, est un moyen efficace de prévenir le copier-coller. Les habiletés et les stratégies inhérentes à la démarche constituent d’ailleurs les éléments les plus transférables des apprentissages scolaires.
Gaël Plantin a compris l’importance de former les élèves à la démarche par une escale dans l’univers du mind mapping (M’Sieur S.V.P.? : Les cartes heuristiques pour lutter contre le Copier-Coller?; source : Éducation 2.0). On notera la structure fort détaillée de sa planification.
Il serait mal venu à quiconque de critiquer le chemin tracé par Gaël, dans l’ignorance du contexte, des élèves et de l’intention pédagogique. Je veux seulement signaler que les cartes heuristiques peuvent être tantôt un moyen de brainstorming, tantôt un moyen de représenter le plan d’un travail, parfois même les deux à la fois. Contrairement à un plan de rédaction traditionnel, cependant, la méthode qu’il propose a l’insigne avantage de limiter la pensée à des mots-clés, évitant d’autant plus le copier-coller.
(Image thématique : Diagram Showing the Parallax of the Plantes, par Charles Bunt)
Par ricochet :À la défense du copier-coller
Le mind mapping pour contrecarrer le copier-coller
Copier sur un seul, c’est du plagiat. Copier sur deux, c’est de la recherche. (Wilson Mizner)
La quasi unanimité des professeurs à décrier le copier-coller et à pointer du doigt les nouvelles technologies de l'information porte à croire que son rejet systématique relève davantage de la pensée de groupe que d'une réflexion sur le phénomène. Je l'ai constaté maintes fois au refus des professeurs d'en discuter. Le copier-coller n'est pas d'emblée un signe de fausseté ou de paresse intellectuelle, quoique cela ne soit pas exclu; il s'inscrit souvent dans un processus de synthèse où l’auteur pèche par négligence, voire par ignorance. Dans la plupart des cas, en situation d’apprentissage, cela ne justifie pas le rejet total du travail.
La valorisation de la démarche, en amont du produit final, est un moyen efficace de prévenir le copier-coller. Les habiletés et les stratégies inhérentes à la démarche constituent d’ailleurs les éléments les plus transférables des apprentissages scolaires.
Gaël Plantin a compris l’importance de former les élèves à la démarche par une escale dans l’univers du mind mapping (M’Sieur S.V.P.? : Les cartes heuristiques pour lutter contre le Copier-Coller?; source : Éducation 2.0). On notera la structure fort détaillée de sa planification.
Il serait mal venu à quiconque de critiquer le chemin tracé par Gaël, dans l’ignorance du contexte, des élèves et de l’intention pédagogique. Je veux seulement signaler que les cartes heuristiques peuvent être tantôt un moyen de brainstorming, tantôt un moyen de représenter le plan d’un travail, parfois même les deux à la fois. Contrairement à un plan de rédaction traditionnel, cependant, la méthode qu’il propose a l’insigne avantage de limiter la pensée à des mots-clés, évitant d’autant plus le copier-coller.
(Image thématique : Diagram Showing the Parallax of the Plantes, par Charles Bunt)
Par ricochet :À la défense du copier-coller
dimanche 9 novembre 2008
La fin du web 2.0?
C’est pourtant par là que tout avait commencé, en Novembre 2004 : la première Web 2.0 Conference, organisée par l’éditeur Tim O’Reilly, lançait l’expression qui allait connaître le succès que l’on sait. Et bien le Web 2.0 Summit qui se tient cette semaine à San Francisco pourrait bien annoncer son enterrement.
Car voilà bien longtemps que j’ai aussi peu entendu parler de web 2.0, dans une conférence qui s’est pourtant révélée passionnante. En trois jours, le mot aura a peine été prononcé par Tim O’Reilly lui même, notamment lors d’une table ronde réunissant les grands acteurs du « cloud computing », comme Google et Salesfroce.
Les géants du web 2.0 ont soit choisi de parler d’autres chose, comme Google qui nous a parlé de sa fondation Google.org, ou Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook… qui a choisi de ne parler de rien, mais avec talent. Quand a Jerry Yang, le fondateur et patron de Yahoo !, il a fait un peu pâle figure. Il a semblé empêtré dans ses problèmes avec Google, lançant un clair appel du pied à Microsoft pour relancer les discussions d’achat. Et son manque de vision a frappé l’auditoire.
Bref, la nouveauté est venue des grands sujets n’ayant rien à voir avec le 2.0. John Doerr, le boss de Kleiner Perkins, le plus grand fonds de capital risque de la Valley, à parlé de son implication dans l’énergie et les green tech…. et de la politique économique d’Obama.
Lawrence Lessig, le juriste qui a crée Creative Commons a aussi parlé de politique, pour lancer un appel au renouvellement du mode de fonctionnement du congrès américain .
Et c’est finalement le cycliste Lance Armstrong qui aura volé la vedette à Al Gore … pour parler de cyclisme, de politique, d’ego…et de Twitter qu’il utilise depuis 15 jours.
Ils n’ont donc plus rien à dire sur le sujet chez O’Reilly? On a en tout cas bien du mal à y retrouver ses petits cette année…
Et vous, pensez-vous que le web 2.0 est mort, que c’est grave?Dominique Piotet - L’Atelier-US
jeudi 30 octobre 2008
Le cybook aujourd'hui.
La deuxième révolution du livre.
Soutenu par une technologie mise au point dans les laboratoires du Massachussetts Institute of technology, à Cambridge ( Etats Unis ) par josef Jacobson dans les années 1990, le livre électronique prend de l'essor dans beaucoup de parties du Monde . Il stocke des dizaines d'ouvrages, son autonomie est importante, ses options sont multiples.Il se présente sous forme d'un mi-écran, mi-feuille, il est fin, souple, consomme peut d'énergie et stocke des dizaines d'ouvrages. Plusieurs modèles sont disponibles surtout sur les marchés américains et asiatiques. Toute cette panoplie de machines ont des points communs. Elles ont le format d'un livre de poche, un écran de 15 cm de diagonale, moins de 2 cm d'épaisseur pour un poids d'environ 300 g. Le livre électronique peut contenir des dizaines d'ouvrages. Son écran n'est pas retroéclairé comme ceux des ordinateurs de bureau ; il fonctionne grâce à la lumière ambiante qui se réfléchit sur la surface. Donc du fait de l'absence du rétroéclairage la lecture est beaucoup plus reposante pour les yeux. Les lettres appairessent bien noires, sur une page plus grise que blanche. Une touche permet de passer d'une page à une autre page. Il nous offre l'option de " corner " des passages intéressants d'un clic pour les retrouver plus tard, ou de grossir les caractères. L'autre avantage décisif du livre électronique est son autonomie énergétique. Il nous permet de consulter des milliers de pages avant de recourir à son rechargement.Il faut savoir que ses batteries ne s'épuisent que lors du changement de page, et non pour les maintenir affichées.Les livres électroniques actuels s'enrichessent en les connectant à un ordinateur et à internet.Leur technologie consiste-en le contrôle de la répartition de pigments noirs et blancs par un champ électrique. Mais on assiste à l'émergence d'une nouvelle technologie qui risque de bouleverser le monde du cyberbook, il s'agit des cristaux liquides. Ce sont à peu près les mêmes que ceux des écrans plats sauf qu'ici ils fonctionnent en réflexion et non transmission de sorte que la consommation électrique diminue et la brillance est meilleure.En terme pratique les cristaux liquides promettent de meilleurs contrastes et un affichage plus rapide entre chaque page chose qui n'existait pas dans la technologie de la génération précédente des ' pigments '. Ce qui est en fin de compte intéressant avec le cybook c'est l'incidence qu'il peut avoir sur l'écologie s'il est adopté par toutes les nations. Imaginons le nombre d'arbres qui seront épargnés?!
Soutenu par une technologie mise au point dans les laboratoires du Massachussetts Institute of technology, à Cambridge ( Etats Unis ) par josef Jacobson dans les années 1990, le livre électronique prend de l'essor dans beaucoup de parties du Monde . Il stocke des dizaines d'ouvrages, son autonomie est importante, ses options sont multiples.Il se présente sous forme d'un mi-écran, mi-feuille, il est fin, souple, consomme peut d'énergie et stocke des dizaines d'ouvrages. Plusieurs modèles sont disponibles surtout sur les marchés américains et asiatiques. Toute cette panoplie de machines ont des points communs. Elles ont le format d'un livre de poche, un écran de 15 cm de diagonale, moins de 2 cm d'épaisseur pour un poids d'environ 300 g. Le livre électronique peut contenir des dizaines d'ouvrages. Son écran n'est pas retroéclairé comme ceux des ordinateurs de bureau ; il fonctionne grâce à la lumière ambiante qui se réfléchit sur la surface. Donc du fait de l'absence du rétroéclairage la lecture est beaucoup plus reposante pour les yeux. Les lettres appairessent bien noires, sur une page plus grise que blanche. Une touche permet de passer d'une page à une autre page. Il nous offre l'option de " corner " des passages intéressants d'un clic pour les retrouver plus tard, ou de grossir les caractères. L'autre avantage décisif du livre électronique est son autonomie énergétique. Il nous permet de consulter des milliers de pages avant de recourir à son rechargement.Il faut savoir que ses batteries ne s'épuisent que lors du changement de page, et non pour les maintenir affichées.Les livres électroniques actuels s'enrichessent en les connectant à un ordinateur et à internet.Leur technologie consiste-en le contrôle de la répartition de pigments noirs et blancs par un champ électrique. Mais on assiste à l'émergence d'une nouvelle technologie qui risque de bouleverser le monde du cyberbook, il s'agit des cristaux liquides. Ce sont à peu près les mêmes que ceux des écrans plats sauf qu'ici ils fonctionnent en réflexion et non transmission de sorte que la consommation électrique diminue et la brillance est meilleure.En terme pratique les cristaux liquides promettent de meilleurs contrastes et un affichage plus rapide entre chaque page chose qui n'existait pas dans la technologie de la génération précédente des ' pigments '. Ce qui est en fin de compte intéressant avec le cybook c'est l'incidence qu'il peut avoir sur l'écologie s'il est adopté par toutes les nations. Imaginons le nombre d'arbres qui seront épargnés?!
Inscription à :
Articles (Atom)